To be continued...
C'était le jeudi 1er décembre
Moi (à Minuit) : "Je voudrais planter ma langue dans ta bouche. Ce n'est jamais toi qui m'appelle, c'est normal ?"
Lui
(à 10h) : "Chère Sophie, je ne t'appelle jamais car tu m'as menacé
d'amour dans le cas d'une hypothétique suite à notre relation..."
Moi
(à 14h) : "J'ai perdu la recette de mon filtre d'amour... que faire ?
Je n'ai pas envie de menacer l'humanité toute entière !"
C'était le samedi 9 décembre
Lui (à 23h13) : "amour..."
Moi (à 23h39) : "Quelle mouche t'a piquée ? Je trouve ce message inquiétant pour un specimen comme toi !!!"
Lui
(à 23h40) : "Specimen, specimen, est-ce que j'ai une gueule de specimen
? Je suis dans ton quartier pendant une heure ou deux, et après..."
Moi (à 23h48) : "Et tu penses par ce mot avoir trouvé une clé m'incitant à l'hospitalité ?"
Lui (à 23h57) : "C'est un diminutif de Faisons l'amour..."
Moi (à 23h56) : "Tu emploies la langue française avec espièglerie !"
Lui (à 0h37) : "Je suis espiègle belle brune. Tes réponses me laissent comprendre que nos corps ne s'uniront pas ce soir...?"
Moi (à 0h43) : "... tu vois juste ! Je ne suis pas à Paris."
Pourquoi est-ce qu'on se fait toujours avoir avec les mots ? A tous
les coups, ils nous font plonger subitement et reconfigurent tout...
To be continued, donc !!!!